Cette rencontre avait pour objectif de rappeler le cadre légal lié au quota handicap, de présenter les nombreux services proposés par les 12 ETA bruxelloises, et de montrer comment celles-ci peuvent répondre efficacement aux besoins des communes dans leurs marchés publics.
Les échanges ont mis en lumière un constat clair :
→ Faire appel à une ETA ne coûte pas plus cher, mais crée plus de valeur sociale.
L’emploi en ETA permet non seulement de renforcer l’autonomie des travailleurs en situation de handicap, mais génère aussi un impact positif pour la société, tant humainement qu’économiquement.
La matinée a été enrichie par plusieurs témoignages clients, dont celui de la Commune d’Anderlecht, qui collabore depuis de nombreuses années avec une ETA pour la distribution de son journal communal.
Qualité, fiabilité, communication fluide : les communes se montrent très satisfaites du travail accompli, comme le confirment également les études internes des ETA, affichant plus de 90 % de satisfaction.
Les participants ont ensuite pu découvrir les coulisses de TRAVIE à travers une visite guidée en petits groupes. L’occasion de rencontrer les travailleurs, d’observer les ateliers, et de constater la diversité et le professionnalisme des métiers exercés.
Aujourd’hui, seules quelques communes bruxelloises atteignent le quota handicap prévu par l’ordonnance du 2 février 2017. 50 % de ce quota peut être remplis via des marchés attribués aux ETA.
La FEBRAP espère que cette matinée encouragera davantage de collaborations et permettra, à terme, à toutes les communes bruxelloises d’atteindre leurs objectifs, tout en soutenant une inclusion durable et porteuse de sens.







